Soirée des Mandataires 2013

medef-grand-visuelLe 4 juillet 2013 aura lieu la Soirée de Mandataires 2013 au château de Maisons-Laffitte.

Au programme :

18h30 – Accueil
19h00 – Mot d’accueil de Bertrand DECRE, Président du MEDEF Yvelines
19h10 – Mot d’accueil de Jacques MYARD, Député-maire de Maisons-Laffitte
19h20 – Présentation de la Commission des Mandats et des différents mandats* par Antoine BARBARO, Aziz SENNI et Gilles VERNAY
19h35 – Intervention de Daniel THEBAULT, Président du Comité Mandat Influence Territoriale au MEDEF National et Président du MEDEF Midi-Pyrénées
20h00 – Echanges avec les participants – Questions / Réponses
20h30 – Cocktail dînatoire

*Les principaux mandats : Conseillers Prud’hommes – Juges au Tribunal de Commerce – Membres de la Chambre de Commerce et d’Industrie – Administrateurs à la CAF des Yvelines – Administrateurs à la CPAM des Yvelines – Administrateurs à OPCALIA Ile de France, etc.

Nous vous invitons à venir échanger avec vos mandataires (Conseillers Prud’hommes, Juges au Tribunal de Commerce, Administrateurs à la CAF et à la CPAM des Yvelines, Administrateurs à OPCALIA IDF, etc.) au cours de cette soirée exceptionnelle.

Pour vous inscrire, cliquez-ici.

PLF & PLFSS 2013 : Bertrand DECRE écrit aux Parlementaires des Yvelines

Versailles, le 3 octobre 2012

Monsieur le Député,

Sans esprit entrepreneurial, rien n’est possible. Sans restauration de notre compétitivité, rien de grand n’est envisageable. Nous ne doutons pas que vous le compreniez.

Cependant, les PLF et PLFSS 2013 annoncent des dispositions néfastes pour l’entrepreneuriat et la compétitivité.

1. Des perspectives dangereuses pour l’entrepreneuriat.

Entreprendre c’est créer, bousculer, défricher, conquérir. C’est cette attitude qui permet l’essor de l’économie. L’entrepreneur cède son entreprise soit après toute une vie de travail, dans le plus grand nombre des cas faiblement rémunéré, soit parce que son « audace créatrice » l’incite à en créer une autre, soit parce qu’il est dans l’impossibilité de la transmettre. Tout frein à ce mouvement permanent de création-cession-« re-création » ne peut qu’aboutir à un effondrement de l’économie. Or la fiscalité envisagée par le gouvernement bloquera et la création et la cession.

En Europe, la fiscalité maximale attachée aux plus-values de cessions est aujourd’hui la suivante :

Espagne

UK

Allemagne

France

France PLF 2013

21 %

28 %

26,4 %

34,5 %

58.2 %

A ce taux le plus élevé des principaux pays européens, la loi de finances 2013 prépare une hausse de 80 %, en passant de 34,5 % à 58,2 %, voire 62,2 % dans certains cas.
Quant à la rétroactivité rattachée à ce dispositif, elle est inique.
Le système d’abattement progressif sur 12 ans est loin de compenser un impact aussi écrasant.

Nous demandons :

  • la suppression de toute rétroactivité,
  • un abattement de 40 % sur toute plus-value,
  • comme le Medef le réclame depuis longtemps, l’exonération des plus-values de cessions au-delà de huit ans, afin d’inciter au placement de l’épargne dans les entreprises.

 2. Le budget 2013 hypothèque l’avenir à bien d’autres égards.

En supprimant le prélèvement forfaitaire libératoire, il fragilise les TPE-PME dont le dirigeant n’a pas d’autre rémunération que le dividende.
En limitant la déductibilité des intérêts d’emprunts, il rend plus difficile l’accès au financement de tout investissement futur.
En soumettant à un forfait social de 20 % les indemnités de rupture conventionnelle, il encourage paradoxalement à préférer le licenciement pourtant douloureux et conflictuel pour tous.

Nous demandons la remise en cause de ces mesures et de préparer :

  • un choc de compétitivité coût,
  • un choc de compétitivité hors-coût.

Chacun convient que l’heure est grave. Par conséquent, toute erreur peut être fatale pour la vie de l’entreprise et l’emploi dans notre pays. Nous vous demandons de nous entendre, de nous comprendre et d’agir.

Bien entendu, je suis à votre disposition dans la mesure où vous souhaiteriez rencontrer des chefs d’entreprise et travailler avec eux sur ces questions.

Je vous prie de croire, Monsieur le Député, en l’assurance de ma considération distinguée.

Bertrand DECRE

Alexandre VALLETTE : pourquoi j’adhère au MEDEF !

Associé dans un cabinet d’audit et d’expertise comptable, c’est mon associé Yvelinois qui a le premier adhéré au MEDEF, il y a quelques années. L’occasion s’est présentée de le remplacer et j’ai accepté cette mission sans trop savoir ce que j’allais trouver dans le mouvement.

Très vite, j’ai compris que pour appréhender le mouvement et trouver ma place, il était essentiel de participer à ses actions.

Première action, première rencontre avec un membre du MEDEF, chef d’entreprise comme moi, et motivé à faire connaître et animer le mouvement.

Après, tout s’enchaine, on rencontre d’autres membres et d’une action à l’autre, on s’enrichit, on sympathise avec certains et on élargit son réseau.

Aujourd’hui mon investissement au sein du MEDEF me permet d’échanger avec des chefs d’entreprises locaux, de partager leurs expériences et de nous enrichir mutuellement.

Le MEDEF, c’est aussi pour moi une manière de remonter, auprès de nos institutions, nos difficultés d’entrepreneurs et de participer aux changements législatifs.

Je parle souvent du MEDEF autour de moi car je pense que tous les entrepreneurs devraient y participer.

Le MEDEF pour moi, c’est une évidence.

Alexandre VALLETTE
Expert-Comptable Associé chez DBF AUDIT

Les voeux 2012 du MEDEF Yvelines

Bertrand DECREL’année dernière, les présents s’en souviendront peut être, j’ai conclu mon discours en formulant un vœu pour 2011 et je me relis :

« Et c’est tout naturellement que je forme un autre vœu, la fusion de toutes les entités MEDEF dans un seul et unique MEDEF Yvelines. »

Le processus est engagé.

Le 21 novembre 2011 j’ai été élu, par l’ensemble des représentants des diverses entités, président du MEDEF Yvelines et au delà de ma personnalité c’est un programme qui a été voté à la quasi unanimité, programme qui a été validé tant au niveau du MEDEF régional que du MEDEF national.

La fusion de toutes les composantes MEDEF départementales en seul mouvement.

Le processus juridique de fusion en une seule organisation territoriale devrait être achevé fin mars début avril mais pour réussir dans notre mission de défense des entreprises du département il nous faudra mettre en place des structures de proximité, à l’écoute des entreprises et agissant de façon coordonnées à l’échelle des Yvelines.

Nos objectifs sont les suivants :

  • Renforcer la puissance du message et la défense de l’entreprise par l’expression d’une seule voix auprès des corps constitués
  •  Assurer une meilleur visibilité et compréhension de notre mouvement tant vis-à-vis de nos adhérents que de l’ensemble des entreprise et d’une manière générale vis-à-vis de tous les acteurs du département
  • Définir et appliquer une stratégie commune à l’ensemble du département en tenant compte des particularités des différents bassins d’activité
  • Mutualiser les moyens
  • Mettre en commun les bonnes pratiques développées par chacun afin de bâtir une stratégie commune
  • Amplifier la force de notre action auprès des institutions pour être en mesure de faire entendre nos idées et assurer, véritablement, la défense de nos adhérents.

A ce stade, je tiens à remercier personnellement les trois présidents que sont Agnès Lo Giacomo pour le MEDEF 92, Paul Baronnat pour le MEDEF Yvelines Nord et Michel Jonquère pour le MEDEF 95 sans le concours de qui rien n’aurait été possible. C’est grâce à leur volonté commune de s’engager dans la construction d’un MEDEF fort sur les Yvelines que ce projet a été rendu possible.

Qu’ils en soient remerciés au nom de l’intérêt commun.

Je tiens à remercier également les institutions territoriales et les corps d’Etat qui par la voix de leurs dirigeants nous a donné des signes forts de leur engagements à nos cotés dans la défense et le soutien de nos entreprise. Soyez sûr, mesdames et messieurs les représentants de l’administration que vos propos ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd et que nous saurons mettre en place, le moment venu, toutes les initiatives capables de défendre la compétitivité et par la même l’emploi sur notre département.

Je veux remercier, en la personne de ses présidents Yves Fouchet et Bruno Bouniol, tous deux membre de notre MEDEF, la chambre de commerce dans leur soutien actif de notre organisation. Je tiens à vous assurez messieurs de notre étroite collaboration, chacun dans le rôle qui lui est dévolu, dans l’intérêt des entreprises Yvelinoises.

Enfin, je remercie tous les membres de notre organisation qui donnent de leur temps, au quotidien pour notre MEDEF et dans  l’exercice de nos mandats que ce soit comme juge aux conseils des prud’hommes, administrateur d’organisme paritaire et de façon plus générale dans tous les mandats qui nous sont dévolus. Un grand merci à ces femmes et à ces hommes qui se battent souvent dans l’ombre pour que fonctionnent les institutions de notre pays. Sans leur dévouement le paritarisme serait en panne. Et, j’en profite pour faire un appel aux candidatures il faut savoir s’engager plutôt que de se plaindre du disfonctionnement de nos institutions il savoir donner pour recevoir et ne pas toujours attendre que les autres fassent pour vous.

Je m’adresse à vous entrepreneurs, si votre premier devoir et de faire fonctionner les entreprises dont vous avez la charge vous ne pouvez pas ignorez le monde qui vous entoure et il est de votre devoir de participer, de vous engager.

Je vous rappelle que l’exercice de nos mandats représente une part importante de notre action.

A ce jour nos nouveaux statuts sont rédigés, il reste quelques formalités juridiques à accomplir mais la maison commune de l’entreprise, le MEDEF 78, est construite, elle est prête à accueillir toutes les entreprises. Les grandes entreprises, les ETI, les PME, les TPE.

Oui le Medef est le mouvement de toutes les entreprises de France nous n’avons pas vocation à privilégier une catégorie d’entreprise plutôt qu’une autre.

Pour réussir nous avons besoin les uns des autres et c’est ensemble que nous voulons construire notre avenir dans le respect de nos particularités et seul le Medef est en mesure de proposer cette alternative.

Maintenant je souhaite revenir plus particulièrement sur certains événements.

L’augmentation de la taxe sur les bureaux :

Dans un souci de financer la mobilité des salariés sur l’île de France nous avons vu nos taxes exploser avec une pseudo règle de continuité de bâti géographique.

Si sur le principe, il ne me parait pas absurde que les entreprises, lorsqu’elles reçoivent un avantage significatif, participent au financement d’infrastructures collectives, mais alors il est indispensable que l’on s’assure que les dites infrastructures apporteront un réel avantage aux entreprises sinon comment justifier de telles hausses si ce n’est en les qualifiants d’injustice.

Je sais qu’un débat est encours et je salue au passage l’action de la chambre de commerce engagée en ce sens.

La suppression d’une partie des allégements sur les bas salaires (loi Aubry et loi Fillon)

De droite comme de gauche j’entends dire qu’il faut chasser les cadeaux fait aux patrons et ces propos me font peur tant ils me paraissent inconséquents.

La suppression des allégements sur les bas salaires va renforcer la charge qui pèse sur le travail, fragiliser les entreprises fortement employeur de bas salaire, je pense aux entreprises de nettoyage par exemple.

Tous les chefs d’entreprises conscients de l’impact de telles mesures vont prendre des dispositions et ils n’ont guère le choix.

Il leur faudra soit augmenter les prix soit augmenter la productivité de leurs salariés.

Ce genre mesure aura comme conséquence de dégrader la compétitivité, de générer de l’inflation ou d’augmenter le chômage sur les catégories les plus fragiles.

La TVA sociale

Le président de la république, lors de ces vœux pour 2012, a annoncé la création d’une TVA sociale.

J’espère que vous savez tous ici que ce projet est d’origine MEDEF.

Il ne s’agit pas d’une lubie, d’un lapin sorti d’un chapeau mais d’un dispositif longuement muri. En effet voila plusieurs années que le Medef travaille sur cette proposition.

Je n’ai pas la prétention d’expliquer la parole du président de la république mais tout simplement de vous détailler la proposition de notre mouvement.

Tout d’abord nous partons d’un constat partagé par tout le monde y compris par les organisations syndicales.

Nous voulons garder notre modèle social pouvoir financer notre protection sociale. Mais en même temps, l’essentiel de ce financement reposant sur le travail, nous avons fait, avec les organisations syndicales, un diagnostic partagé et nous disons que ce financement pèse beaucoup trop lourdement  sur le travail et handicape la compétitivité des entreprises françaises.

C’est pourquoi le MEDEF propose d’engager une réforme du financement de la protection sociale, fondée sur un double mouvement portant, d’une part, sur une baisse des cotisations salariées compensée par une hausse de la CSG et, d’autre part, sur une baisse des cotisations employeurs compensée par une augmentation de la TVA.

  • Agir sur les cotisations salariales permet d’augmenter le salaire net.
  • Agir sur les cotisations employeurs permet de gagner en compétitivité-prix.
  • Agir simultanément sur la TVA et la CSG permet d’opérer une baisse significative du coût du travail en prenant en compte le pouvoir d’achat.

Une baisse des cotisations salariales compensée par une hausse de la CSG permettra une augmentation des salaires nets.

L’assiette de la CSG étant plus large (s’appliquant aux revenus du travail, du capital et de remplacement) que celle des cotisations sociales, un tel transfert aura pour effet :

  • d’élargir l’assiette de financement aux revenus de remplacement et du patrimoine ;
  • d’augmenter les salaires nets : baisse des prélèvements sur les revenus du travail et hausse de la taxation des revenus du capital et de remplacement.

Une baisse des cotisations employeurs compensée par une hausse de la TVA améliorera la compétitivité française et permettra

  • soit une baisse des prix HT qui compenserait la hausse de la TVA;
  • soit une hausse des marges des entreprises françaises qui pourrait être favorable à l’investissement, à la R & D et à l’embauche;
  • soit une hausse des salaires;
  • soit un mix de ces trois éléments.

Et pour être complet on pourra ajouter que nous n’envisageons pas qu’il n’y ait une augmentation de TVA pour les produits de première nécessité ou même plus généralement pour les produits alimentaires afin de préserver les catégories sociales les plus précaires.

On voit bien que l’approche qui est proposée est vraiment gagnante-gagnante, c’est quelque chose qui pourrait être bénéfique à tout le monde, à la compétitivité d’entreprise et au pouvoir d’achat de chacun.

La perte du triple A

Rassurez vous je vais vous épargner un cours sur la finance internationale pour lequel je n’ai d’ailleurs pas la compétence requise.

Je souhaite simplement vous faire partager quelques réflexions.

Avons-nous oublié que les agences de notations n’avaient pas hésitées à gratifier du triple A des avoirs toxiques bourrés de subprime ?

Avons-nous oublié que les états unis d’Amérique ont perdus leur triple A au mois d’août 2011 ?

Quelle valeur a la notation de Standar & Poor’s  d’autant que ses consœurs restent plus modérées ?

Quelle sera l’incidence sur la marche de nos entreprises ?

Une raréfaction du crédit ? C’est déjà fait !

Une hausse des taux d’intérêts ? Il semblerait que ce ne soit pas évident et puis de toute façon je ne suis pas sûr qu’il faille avoir peur d’une hausse des taux d’intérêts.

L’important pour nos entreprises c’est de trouver des capitaux pour financer notre développement, pas à n’importe quel prix bien sûr, mais une hausse modérée des taux d’intérêts est largement moins préjudiciable qu’une pénurie de capitaux.

Si je vous ai livré ces réflexions c’est que je souhaite vous faire partager mes convictions.

La crise financière est un fait, elle est violente, elle affecte l’économie de la planète, mais devons nous pour cela, faute de pouvoir agir, nous replier sur nous même et attendre que les états et les maître de la finance mondiale trouvent pour nous les solutions ?

NON !

Nous devons réagir.

Tout d’abord, il m’apparait comme essentiel de toujours privilégier l’investissement créateur de ressources et d’emplois plutôt que la spéculation individuelle ensuite il m’apparait comme important de réintroduire dans nos rapports une dose d’éthique et de solidarité.

A cet effet je souhaite vous faire partager une autre réflexion.

La semaine dernière j’écoutais Mr Mélanchon sur une radio national France Inter il me semble, et Mr Mélanchon disait qu’un chef d’entreprise ne devrait jamais gagner plus de vingt fois le SMIC et je me suis souvenu avoir lu une autre déclaration de ce genre.

Elle venait d’un homme que l’on ne peut pas considérer comme vraiment partageux ou particulièrement Marxiste puisqu’il s’agit d’Henry Ford qui jugeait, lui, indécent qu’il puisse se rémunérer plus de 19 fois le salaire de son employé de base.

Intéressant non ?

Bien sur Mr Ford parlait de la rémunération du travail pas de celle du capital justifiée elle par les risques encouru par l’entrepreneur.

Vous savez, l’exercice risqué de la profession d’entrepreneur, ce n’est pas si simple.

Regardez l’aventure Sea France, au début on nous a parlé de l’union sacré des employés, motivés, attachés à leur entreprise qui allaient en investissant leurs indemnités de licenciement sauver leur entreprise. Au final, tout le monde c’est déballonné.

Et oui, ce n’est pas si simple

Mais les entrepreneurs sont des hommes et des femmes qui savent ce qu’est prendre des risques et surtout, par leur travail, leur intelligence et leur pugnacité dominer les épreuves pour une réussite collective.

Il nous faudra prendre des risques pour développer nos entreprises et je demande à nos partenaires banquiers de nous accompagner dans nos développements plutôt que de jouer leurs capitaux au casino de la finance internationale et le MEDEF sera là avec l’aide de la banque de France en la personne de Mr Calvet pour vous accompagner et réussir.

Quand l’entreprise gagne c’est la société qui gagne

Le territoire des Yvelines se révèle être d’une grande richesse dans sa diversité. Tous les secteurs de l’économie que ce soit l‘industrie, le service, l’agriculture sont présent sur le département, on y trouve tous type d’entreprise du CAC 40 à la TPE.

Nous devons tirer partie de cette richesse et c’est la tache que j’assigne à notre mouvement Le MEDEF Yvelines être le vecteur facilitateur de succès pour nos entreprise.

Par nos liens privilégies avec les politiques, l’administration, les organismes consulaires et tous les corps constitués nous devons être en mesure d’aider les entreprises Yvelinoises chaque fois qu’elles voudront avancer, chaque fois qu’elles rencontreront une difficulté. Certaines cellules de travail ont déjà été créées à cet effet et notre dimension départementale devrait être un atout.

Le MEDEF est un lien entre les entreprises, un facilitateur, une aide, par exemple, dans les relations grands groupe/PME fournisseur, dans les relations banque/clients, dans les relations administration/entreprises et chaque fois que vous rencontrerez une difficulté nous saurons nous mobiliser auprès de vous, pour vous aider à les surmonter.

La crise nous la dominerons ensemble par notre travail et notre engagement et notre solidarité

Bonne année à tous.

 

Voeux présentés le 19 janvier 2012 à l’École Européenne d’Intelligence Économique de Versailles

Anthony STREICHER : pourquoi nous adhérons au MEDEF !

L’adhésion au MEDEF a été le deuxième chèque de notre entreprise à sa
création et nous ne le regrettons pas ! Pourquoi le MEDEF Yvelines ?

Monter ou reprendre une entreprise c’est créer, innover, s’impliquer dans
le tissu économique, sociétal, être acteur pour l’avenir à son niveau,
embaucher responsable.

Ceux sont ces valeurs que nous avons retrouvé dans le MEDEF, être avec d’autres chefs d’entreprise, aller de l’avant, pouvoir rencontrer des spécialistes quand nous rencontrons des difficultés. Bref, ne pas rester seul. C’est impressionnant la force que l’on peut avoir à plusieurs, le soutien, l’échange, la croissance.

Lors de notre adhésion au MEDEF, nous étions 2 dans l’entreprise. Un an et demi plus tard, nous sommes 10. Nous nous impliquons localement dans le mouvement. Il n’y a eu aucun jugement de valeurs et pas de mise à l’écart du petit dernier.

Alors dirigeants, porteurs de projet, le MEDEF c’est la simple
représentation du milieu de l’entreprise d’aujourd’hui mais aussi de
demain.

Anthony STREICHER
Directeur Associé de HA PLUS PME

Appel aux bonne volontés

Lors du dernier bureau du Medef, nous avons décidé de constituer un groupe de travail sur le financement des Entreprises et particulièrement des PME, avec une préoccupation qui est le financement de proximité.

Nous avions déjà , dans le passé, en particulier avec notre Président Bertrand Decré, réfléchi à ce qui pouvait être mis en place et donc à ce que le Medef pouvait proposer.

Nous sommes partis du principe de brasser un certain nombre d’idées sans s’interdire quoi que ce soit dans un premier temps et de travailler sur les idées retenues pour ensuite en faire des propositions concrètes que nous souhaitions diffuser au mieux , cela concerne, entre autre, le financement de proximité, le financement inter-entreprise, la mutualisation des garanties, une meilleure efficacité de la médiation du crédit, un fonds d’intervention innovant auprès des entreprises, efficacité des aides et leur amélioration( Crédit d’Impôt Recherche par exemple) etc…

Nous souhaitons prolonger ces réflexions et déboucher sur des propositions concrètes que nous porterons au plus haut niveau  en constituant un groupe de travail sur ces thèmes.

Ce groupe de travail est déjà constitué de quelques personnes, mais il est bien entendu ouvert à tous ceux qui sont intéressés par cette problématique, rejoignez-nous pour faire avancer vos idées !

C’est la vocation première de notre mouvement !

Un point sur les rendez-vous du Medef Yvelines Sud avec les acteurs institutionnels de département

Rendez-vous avec la Directrice du Travail de la DIRECCTE ( Direction Régionale des Entreprises, de le Concurrence, de la Consommation du Travail et de l’Emploi), qui a souhaité mettre en avant le contrat d’apprentissage senior.

Rendez-vous avec le nouveau Trésorier Payeur Général qui a abordé la concrétisation de la nouvelle organisation des Services Fiscaux pour Septembre 2011, avec un Directeur des Services Fiscaux, un Directeur départemental des Finances Publiques qui supervise et anime deux nouvelles Directions : la Direction de la Gestion Publique et la Direction de la Gestion fiscale.
En conséquence de nouvelles personnes sont nommées à ces postes, elles se mettent en place progressivement en place depuis la rentrée et votre Medef va prendre contact avec elles,

Rendez-vous avec le Préfet dans le cadre du Comité de pilotage du Service Public départemental de l’emploi et du développement économique,

Rendez-vous avec la Banque de France sur l’évolution dans le département,

Réunion organisée avec un député, Mr Fourgous, sur l’initiative gouvernementale de versement d’une prims aux salariés quand , dans certains cas, l’entreprise a distribué des dividendes,

Enfin, le Medef Yvelines Sud est membre fondateur du CIP (Centre d’Information sur la Prévention des difficultés des entreprises des Yvelines) , cet organisme permet à toutes les entreprises ayant des difficultés d’être reçues en toute confidentialité avec des professionnels afin d’exposer ses difficultés et explorer les différentes solutions qui s’offrent à elles. Le Medef y est régulièrement représenté et participe aux consultations.

D’autre part, le Medef Yvelines Sud est en permanence à l’écoute de ses adhérents et systématiquement, quand une question ou une problématique est posée par l’un de ses adhérents , une prise de contact est effectuée auprès de cet adhérent pour l’accompagner dans la résolution de la difficulté.

N’hésitez pas à nous contacter, il ne faut surtout pas rester seul face à une problématique, le Medef peut vous aider, une cellule d’accueil est en veille permanente.

Mathieu GILLE : pourquoi j’adhère au MEDEF !

Mathieu GILLEEntrepreneur, fils d’entrepreneur, petit fils d’entrepreneur, l’entreprise familiale a toujours fait partie de ma vie, au début comme un frère qui grandit à côté de soi, et aujourd’hui comme un enfant parfois turbulent qu’il faut défendre et accompagner.

Je dois bien l’avouer la première raison qui a fait que j’ai adhéré au MEDEF est une raison tout à fait égoïste : la volonté d’être moins seul dans ma vie de chef d’entreprise, de rencontrer des entrepreneurs dans la même situation que moi et se rendre compte que petits ou grands, nous avions tous les mêmes préoccupations. Cet engagement initial m’a effectivement permis de faire des rencontres, de nouer des liens au niveau local et de constituer un réseau.

Mais cela n’était pas suffisant et j’ai du me rendre à l’évidence, pour recevoir, il fallait aussi donner. J’ai donc choisit de m’investir dans le mouvement pour commencer à entrevoir la deuxième facette du MEDEF qui au delà du simple outil de « networking » est un formidable outil de militantisme. J’ai pris part à la vie du mouvement en m’impliquant directement dans son Conseil d’Administration et en prenant la responsabilité de l’animation d’un club.

L’intérêt de mon adhésion s’en est trouvé immédiatement renforcé. Les rencontres se sont accélérées, les contacts facilités et j’ai eu le sentiment non plus de participer uniquement au développement de mon réseau mais réellement de défendre mon entreprise.

Cette implication et ce réseau facilitent au quotidien ma vie d’entrepreneur. Ils la rendent à la fois plus agréable par les contacts permanents qui ont lieu entre membres du MEDEF et plus sécurisante pour mon entreprise car je sais qu’à mes côtés, j’ai une force militante qui sera là pour m’assister en cas de problème.

Alors adhérer ou pas ? La question ne se pose même plus !

Mathieu GILLE
Président de TELSTAR

Sébastien VERCRUYSSE : pourquoi j’adhère au MEDEF !

Adhérer au MEDEF ne m’a pas semblé immédiatement évident. J’avais en effet l’image négative, d’un groupement de grosses entreprises, d’adhérents plus prêt de l’économie virtuelle que de l’économie réelle, d’idées anti-sociale fortes. En me rendant (un peu à contre coeur !) à une réunion organisée par le MEDEF Yvelines Sud, j’y ai trouvé tout l’inverse !

Ma vision du MEDEF à aujourd’hui véritablement changé, J’y trouve des entrepreneurs qui me ressemblent, nous nous rencontrons régulièrement autour de réunion conviviales, animées et passionnantes. J’ai choisi de participer à 2 groupes qui me garantissent d’échanger avec des dirigeants ayant les mêmes préoccupations que moi. Je suis en effet intégré dans le groupe des « Jeunes entrepreneurs », qui est un groupe parfait pour rentrer dans le mouvement, très convivial. Souvent constitué de petites entreprises innovantes ce groupe nous permet d’échanger et de débattre sur les problématiques « basiques » du créateur : Le financement, les RH, … Je suis participant également d’un groupe constitué d’entreprise réalisant un CA d’environ 15 Millions D’€uros. Ce groupe me permet d’échanger sur des questions plus orientées PME.

Lors de nos réunions il est très courant qu’un intervenant participe : Avocat, Homme politique, Intervenant aux Prud’hommes, Expert Comptable, … Nous pouvons poser des questions sans tabous, augmenter notre culture grâce à l’échange, mais également agir directement en proposant.Je suis fier aujourd’hui de faire parti d’un mouvement dynamique, me permettant d’agir, d’échanger, m’apportant conseil et support en cas de problème, et cerise sur le gâteau me permettant d’augmenter mon business grâce à un réseau riche.

Sébastien VERCRUYSSE
Président Directeur Général d’AvenAo

Bienvenue sur le nouveau site du MEDEF Yvelines !

Bertrand DECREBienvenue sur notre site, point d’entrée de notre mouvement, belle vitrine de son dynamisme et de celui de ses adhérents. Cet outil vous donne une vision d’ensemble de nos activités et actions menées sur notre territoire. Il vous permettra de  mieux nous connaitre et de donner envie à ceux qui ne l’ont  pas encore fait de nous rejoindre.

A très bientôt !

Bertrand DECRE
Président du MEDEF Yvelines-Sud

 

Marie-Christine OGHLYC’est avec grand plaisir que je voie le MEDEF Yvelines Sud lancer un nouveau site internet. Il s’agit d’un outil essentiel pour faire connaître les orientations du MEDEF et l’appui qu’il peut apporter aux entreprises. Plus que jamais, le MEDEF est à la pointe du combat pour faire de l’Ile-de-France une région d’entrepreneurs et la 1ère région économique d’Europe.

Bon courage pour ce lancement et encore bravo !

Marie-Christine OGHLY
Présidente du MEDEF Ile-de-France